Sumeru

(60 minutes)

Chorégraphie : Liu Qi

Musique: Tom Lee Pettersen, Kung Chi Shing

Lumière: Low Shee Hoe

Costumes: K@FingPop

Danseurs : Compagnie de danse contemporaine du Guangdong

La danse, c’est comme l’infiniment petit du grain de moutarde du mont Sumeru, il suffit que l’on souhaite un instant d’ataraxie contempler son intérieur pour pouvoir apercevoir les images des souffles par myriades qui le trament. L’œuvre se concentre dans l’induction par inférence de la pureté du corps et de l’interprétation du mouvement, à l’instar de transformations, superpositions, extractions, alliages, réorganisations d’éléments premiers ne cessant de produire des fissions, génératives d’un champ d’énergie où s’écoulent par métamorphoses saturations colorimétriques et variations de températures, dans une condensation des existants de l’univers.